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Miranda Cok

[a la voile]

Miranda Cok
19 Mars 1969
Flandre Zélandaise

CEO  -  Summa Vastgoed NV

Née en Flandre Zélandaise et fille d’un homme d’affaires, banquier réputé, Miranda se trouve depuis 2002 à la tête du holding familial, la SA Summa. Ce consortium d’entreprises et de participations investit dans de nombreuses entreprises opérationnelles, souvent cotées en bourse, en plus d’une spécialisation assez poussée de l'investissement dans l'immobilier commercial. Issu de la fusion de différentes entreprises familiales Flamandes et Néerlandaises, le groupe comprend également des participations dans diverses autres entreprises immobilières, dans lesquelles Miranda remplit différents rôles actifs de gestion.


Le début de sa carrière

Miranda a fait ses études secondaires au VWO Oost burg (Scholengemeenschap Het Zwin). Dans son enfance, Miranda rêvait d’une carrière de vétérinaire. Plus tard, elle développa une appréciation particulière pour le Néerlandaise et l’histoire.

Ayant grandi au sein d’une famille d’entrepreneurs, Miranda se rendit très vite compte que ses centres d’intérêt lui apporteraient peu d’options et de perspectives. Dès lors, à l’âge de 18 ans, elle décida, , de s’inscrire à l’Université Catholique du Brabant à Tilburg pour y étudier le financement et l’économie d’entreprise. Cette période passée à l’université lui procura non seulement un diplôme qu’elle obtint avec brio, mais elle y rencontra aussi son futur époux, Karel van de Klok.

Miranda et Karel avaient projeté de faire un voyage autour du monde à la fin de leurs études, mais ayant terminé ses études 6 mois avant son époux, Miranda décida d’utiliser le temps disponible pour un court emploi d’été. Son père lui proposa de l’aider pendant quelques mois dans ses activités d’investissement immobilier; ce qu’elle accepta avec plaisir. Ceci détermina le reste de sa carrière professionnelle. La collaboration pendant ces 6 mois lui inocula le virus du secteur immobilier: le travail qu’elle y fit à tous les niveaux (nettoyage, comptabilité, gestion des installations, commercial,…) lui permit de comprendre, mieux que quiconque, le secteur, en particulier, qu’un investissement immobilier réussi exige une approche consciencieuse, attentive aux moindres détails.

Le voyage autour du monde n’eut pas lieu, mais la carrière de Miranda avait pris son essor.

L'exécutif

Dès le début, Miranda se révéla être un entrepreneur talenté et un directeur estimé par la grande équipe dont les forces se joignent de façon directe ou indirecte autour de la SA Summa.

Miranda: ‘Le secteur de l’immobilier présente une interface très large, tant financière, que juridique et sociale. Vous entrez en contact avec diverses fonctions à tous les niveaux imaginables et êtes constamment confronté à des situations différentes. Une attitude ad-hoc est, dans ce cas, indispensable. ‘ D’autre part, Miranda fait son travail avec beaucoup de plaisir, ce qui en est le facteur le plus important. Ses succès portent le sceau de son expertise, son habileté à composer des équipes durables et sa grande empathie.

Sa vie privé

Le passe temps favori de Miranda est la lecture, aujourd’hui un peu moins qu’autrefois. Son auteur préféré est Marquez.
Actuellement, elle joue au tennis chaque semaine en tant que membre passionné de l'équipe interclub des femmes. Elle est responsable de l'équipe de hockey de sa fille et le plus grand supporteur du club de football de son fils. Sa vie active est définie par ses deux enfants et sa famille, son travail, ses amis et le sport.
Miranda a aussi un penchant pour les voyages: d’une part les voyages vers des destinations lointaines comme Washington (Etats-Unis) et l’Indonésie, d’autre part, la France et de l’Italie ont également ravi son cœur. Elle aime partir avec ses enfants vers des destinations ensoleillées, mais aime aussi les citytrips et les vacances actives.

En 2011 Miranda perdit son mari suite à la maladie d’atrophie musculaire SLA. Depuis, Miranda est devenue un membre bénévole actif de la Fondation pour la SLA. Sa plus grande réalisation dans ce domaine jusqu'à présent, a été sa participation, en 2013, avec quelques amis de Karel au "Tour du SLA”, une collecte de fonds annuelle pour laquelle les participants gravissent le Mont Ventoux à vélo. Les recettes de cette campagne furent versées intégralement à la recherche sur la SLA dans l'espoir de trouver un jour un remède pour cette terrible maladie. En Février 2013, Miranda a témoigné de son histoire dans le magazine de la SLA.